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Connaissez- vous l ' histoire
de la grenouille sourde ?
Une bande de grenouilles décide d’organiser une course
L’enjeu étant d’être la première
A atteindre le haut d’une grande tour
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A l'heure ou certains veulent modifier notre ADN
En faisant disparaître la crèche de notre culture
Il est de notre sort à tous de ne pas laisser ce mal nous envahir
Préservons notre identité et battons nous pour qu'elle vive.
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Georges Chelon est un merveilleux Auteur/ compositeur
Poète chanteur il n'a pas été apprécié à sa juste valeur...
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Écoutez "Je suis de trop …"
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♥
Paroles de la chanson Je suis de trop ici par Françoise Hardy…( Celle qui fut mon Idole…)
♥
Biche aux abois qui passe
Elle a tout pour que l'on veuille l'apprivoiser
La beauté et la grâce
Elle a tout pour elle et moi je ne peux pas lutter
Pas besoin de préavis
Ni de points sur les i
Un seul regard a suffi
J'ai compris
Sensible et réfractaire
Tu as tout pour que l'on cherche à t'attirer
Le charisme, le mystère
Tu as tout pour toi: comment pourrait-elle résister?
Le charme de l'inéditL'attrait de l'interdit
Ont fait le reste, moi je suis de trop ici
Le soir descend, si triste, si noir
Je vais tomber sans bruit
Tout au fond de la nuit
Je pars, tu perds la mémoire, cauchemar
Du voile qui se déchire
Impression de mourir...
Ça crève tous les yeuxLe courant magique qui passe entre vous deux
Et j'attise le feu
Malgré moi, je rends vos jeux un peu plus dangereux
Être intruse dans ta vie
Je refuse, j'ai envie
De disparaître car je suis de trop ici
Le soir s'étend trop vite trou noir
Je suis tombée sans bruit, tout au fond de la nuit
Tu pars , je perds tout espoirQu'y faire ?
Qui parle de souffrir?
Quand je me sens mourir...
Y'a quelque chose dans l'air
Quelque chose de trouble m'empêche de respirer
Me prive de lumière
Quelque chose, quelqu'unSoudain mon miroir s'est brisé:
Une faute d'harmonie
Pour qu'une autre mélodie se mette en placeOui je suis de trop ici...
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Pause indéterminée
Bisous et belles fêtes à vous
Ainsi que par avance
Tous mes meilleurs voeux
Pour l'an à venir ♥ Bisous ♥
A très bientôt... Pensées...
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Venez vite, gens de ce monde
Marchons retrouver la lumière
Nous devons nettoyer cette terre
Que l'injustice a trop flétrie
Arrachons les herbes malades
Le temps est juste propice.
Semons l'amour, plutôt que les supplices
Plantons des arbres de paix
Nous en récolterons les fruits
Qui nourrissent
Un monde juste ne sera possible
Que sur une terre sans immondices
Sous nos yeux, chaque jour
La misère est grandissante
Il y germe, il y pousse
Les maux de l'existence
Je pensais naïvement
Que tous les hommes étaient frères
Pourquoi, ces inlassables guerres ?
Pour une chasse au pouvoir
De quelques ignares d’amour
Clamant de faux mots d’espoir
Couvrant de bleus indélébiles
Leurs innocentes victimes
Vidons le vice de nos âmes
Semons l’amour plutôt que les erreurs
Répandons les graines de la bonté
Plantons des arbres qui fleurissent
Soyons amis ou soyons frères
Chassons ce mal qui blesse des coeurs
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Quand l'ignorance et la haine ne seront plus...
La violence, alors, s'apaisera
N'imitez jamais rien des barbares
Un lion copiant un lion
Ne peut être qu'un singe
Victor Hugo
Hommage à Samuel Paty...
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Mon plumier était de carton bouilli
Peint et gravé de fleurs
Moi, je le trouvais très joli
Je n’enviais pas ceux des plus riches
Comme j’aimais le bruit des pages
Des livres neufs, qui craquaient
Recouverts par maman
D’ancien papier d’emballage
Afin qu’ils ne s écornent pas
Mon frère rangeait soigneusement
Ses précieuses billes de terre
Dans un vieux chiffon gris
Cousu au mieux par ma mère
On ne manquait jamais de saluer
Ce grand Monsieur "l’instituteur"
Il était droit dans sa blouse grise
Mais nous répondait toujours
Hochant la tête et bienveillant
Son bureau trônait
Au premier rang
Tenant sa baguette en main
Pour taper les doigts des vilains
A la maternelle
Nous apprenions les rondes
A la grande école
Il fallait réciter, l’histoire du monde
J’aimais moins la géographie
Elle orientait pourtant nos esprits
Puis il fallait sortir nos plumiers
De même que le cahier de dictées
Je cite et vous écrivez
Trempez doucement vos plumes
Dans vos godets de porcelaine
Emplis d’encre violette
Sentez-vous encore, ces effluves ?
Elle respirait le bien savoir
Le plancher de bois ciré
Elle était notre terrain d’envol
On ne pouvait que suivre sa piste
Avant, c’était ça
« L’école de France »
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